un groupe de jeunes Américains (Playing for change) sillonnent le monde pour recueillir les voix de musiciens de rue, de chorales amateurs et de chanteurs de toutes nationalités pour les réunir en un seul enregistrement.
Le projet a commencé il y a une dizaine d'années sous forme de "road-trip" musical entre amis et a évolué pour donner lieu à deux documentaires musicaux indépendants, dont un présenté au Tribeca film festival. Leurs clips ont été vus plus de 10 millions de fois sur Youtube et se diffusent à toute vitesse sur Myspace et Facebook. Grâce à la notoriété et au financement que leur apporte cette nouvelle visibilité, le collectif lance la fondation Playing for Change pour construire des écoles de musique dans des ghettos et des bidonvilles à travers le monde.
L'enregistrement de ces vidéos se fait soit au hasard des rencontres musicales, soit après avoir débusqué la perle rare dans les rues ou bars d'une ville. Les musiciens ne se sont jamais rencontrés, se basant sur les enregistrements des interprètes précédents.
2. jupi le 18-08-2011 à 10:19:54
j'adore ,tout simplement c'est génial.
comme dis beethoven de vrais artistes .
3. jupi le 18-08-2011 à 10:21:14
AU FAIT...
moins J- 8
Elle fait partie des frégates construites à l'arsenal de Rochefort ; ses sister-ships sont la Courageuse, la Concorde et la Fée.
C'est la seconde frégate portant ce nom mythologique dans la Marine française. Une troisième Hermione a été construite sous le Premier Empire à l'arsenal de Lorient par la société des frères Crucy.
Elle est connue pour avoir conduit le marquis de La Fayette aux États-Unis en 1780, lui permettant de rejoindre les insurgés américains en lutte pour leur indépendance.
Elle fait depuis deux décennies l'objet d'une très importante opération de reconstitution.
Historique
Caractéristiques
L’Hermione est une frégate ; c'est un bâtiment plus léger et plus maniable qu'un vaisseau. Rattachée à une escadre, elle doit servir d'éclaireur, de répéteur de signaux, ou bien doit assister les vaisseaux désemparés dans la bataille. Employée seule, elle est utilisée pour faire des croisières et la guerre au commerce ennemi.
Elle arbore les mensurations d'un navire de 1 166 tonnes, avec une longueur de tête en tête de 66 m, une largeur au maître-couple de 11,5 m et de 5,78 m de creux. Elle pouvait embarquer 316 hommes. Elle comptait trois mâts et sa voilure de route couvrait plus de 2 200 m2.
Elle est armée de trente-quatre canons, vingt-six tirant des boulets de douze livres (d'où le terme de « frégate de 12 ») et huit canons de huit livres.
Elle dispose de trois ponts : le pont de gaillard, le pont de batterie et le faux-pont, situé au-dessous du pont principal. Le premier sert à la manœuvre, le second à l'artillerie et le troisième au repos.
La reconstruction
L'ambition de l'Association Hermione-La Fayette est de reconstruire le plus fidèlement possible à la frégate d'origine, tout en tenant compte des contraintes règlementaires actuelles, notamment en matière de navigabilité, un navire de plus de 65 mètres de long portant trois mâts et 1 500 m2 de voilure, et dont la coque est entièrement réalisée en chêne.
Quelques chiffres : un grand mât à 54 mètres au-dessus de la quille, 2 000 chênes sélectionnés dans les forêts françaises, un puzzle de plus de 400 000 pièces de bois et de métal, 1 000 poulies, 1 tonne d'étoupe pour le calfatage, 26 canons tirant des boulets de 12 livres sur le pont de batterie et 8 canons tirant des boulets de 6 livres sur le pont de gaillard.
Le chantier est installé dans l'une des deux formes de radoub situées à l'extrémité de la Corderie royale à Rochefort. Le lieu est conçu et aménagé pour la visite. Dès l’origine du projet, il s’agissait non pas uniquement de reconstruire au cœur de l’ancien arsenal de Colbert un navire du <abbr>XVIIIe</abbr> siècle, mais avant tout de faire partager au public cette aventure afin qu’il puisse découvrir les grandes étapes de cette reconstruction. Le projet s'est révélé être un véritable succès populaire, près de 250 000 visiteurs par an, le seuil symbolique des 3 millions de visiteurs vient d'être franchi. Ce succès populaire constitue avec le soutien des collectivités territoriales, Ville de Rochefort, Département de Charente-Maritime, et Région Poitou-Charentes, le moteur principal du financement de l’Hermione.
Le chantier ayant pris du retard, la mise à l'eau initialement prévue en 2008 a été repoussée en 2012. Au <abbr>XVIIIe</abbr> siècle, le navire initial avait été construit en moins d'un an. En juin 2008 cependant, après le petit canot et grand canot, la chaloupe, la plus grande des 3 annexes embarquées de l’Hermione a été mise à l'eau, à défaut de la frégate elle-même.
Plusieurs modifications ont été apportées au plan original du navire par souci de solidité et de sécurité : en particulier, les planches sont boulonnées et non chevillées afin d'éviter le jeu secondaire à la durée de construction. De même, les mâts sont collés et non assemblés par des cercles métalliques, afin d'éviter les infiltrations d'eau. Les canons, pour des motifs de poids et également de sécurité, seront allégés et non fonctionnels. Le gréement reste en chanvre ; en mars 2011, la voilure reste prévue en lin.
Une motorisation est prévue en sécurité ainsi que des groupes électrogènes pour l'éclairage et un confort minimal.
L'association Hermione-La Fayette
Erik Orsenna, écrivain, en est le président fondateur. Il est également depuis 1991 président de la Corderie royale - Centre international de la mer, partenaire de l'Association Hermione-La Fayette dans cette opération.
Benedict Donnelly est président de l'Association Hermione-La Fayette depuis 1994. Fils d'un citoyen américain qui participa au débarquement de Normandie, il est d'autant plus sensible aux valeurs que véhicule l’Hermione.
Dès le début du projet et jusqu'à son décès à la fin de l'année 2005, Raymond Labbé, constructeur naval malouin et conseiller technique auprès du ministère de la Culture pour le patrimoine maritime, était au sein de l'association le conseiller technique. Sa grande expérience de la construction navale bois, sa connaissance du patrimoine naval français ont fortement contribué à la mise en œuvre du projet.
Aujourd'hui, les membres d'un comité technique présidé par Jean-Pierre Saunier apportent leurs compétences aux entreprises chargées de la construction de la frégate.
Emmanuel de Fontainieu, directeur de la Corderie royale à Rochefort occupe le poste de secrétaire de l'Association. Il est également le responsable de la politique d'animation.
À Rochefort, une équipe de 7 salariés animée par Maryse Vital, déléguée générale, assure la gestion quotidienne de l'association : gestion générale du projet, coordination, suivi administratif et financier, gestion des adhésions, communication, relations presse, relations publiques, relations avec les partenaires, gestion du Comptoir de l’Hermione ; la boutique de vente de produits dérivés
, maintenance et entretien du site, etc.
1. jupi le 26-07-2011 à 04:00:59
superbe visite..bel article ..
1. Beethoven le 22-07-2011 à 16:29:01
Whaou superbe photos
2. jupi le 23-07-2011 à 03:25:01
superbe !!!!!
Le carrelet est un dispositif côtier de cabanes sur pilotis que l’on retrouve sur tout le littoral de la Charente-Maritime.
La pêche au carrelet se pratique de trois manières différentes : à partir d’un ponton, d’une embarcation à pied ou sur le parapet d’un édifice.
L’apparition des carrelets est difficile à dater. Le mot carrelet semble apparaître dans la langue française vers 1360 (avec l’orthographe « Quarlet ») et figure dans la première édition du dictionnaire de l’Académie en 1694.
Des peintures du XVe et XVIe siècles montrent des scènes de pêche au carrelet sur différentes rivières de France, d’Allemagne et d’Italie.
Au XVIIe siècle, DUHAMEL DU MONCEAU dans son ouvrage Traité général des pêches et des poissons qu’elles fournissent (1760) apporte un grand nombre de renseignements sur ce type pêche. Les différents systèmes de carrelets, manœuvrés depuis le rivage ou à bord d’embarcations y sont notamment décrits et représentés.
A la fin du XIXe siècle, le carrelet a cessé d’être en France un outil de pêche professionnel pour devenir un instrument de loisir et de tradition. Le carrelet reste cependant à cette époque un instrument assez léger et de dimensions modestes, fixe ou portatif.
Ce n’est qu’après la première guerre mondiale, vers 1925-1930 qu’apparaissent les premiers carrelets sur passerelles s’avançant jusqu’à la limite de la basse mer et permettant la pêche à toute heure, sans être tributaire de la marée.Après 1945, les carrelets avec de longues passerelles et des cabanes pour s’abriter entre deux levées de filet, font leur apparition.Tournant la manivelle, le pêcheur remonte le carrelet qui émerge de l’eau quelques mètres plus bas. Un éclair argenté scintille dans le soleil, un mulet se débat dans la poche du filet. Quand l’engin arrive à bonne hauteur, l’homme saisit le poisson d’un geste rapide avec une épuisette.
Les pontons installés sur l’estran, des falaises d’Esnandes à celles de la Gironde, donnent aux côtes charentaises leur identité. Ces passerelles « montées sur échasses » sont les sentinelles avancées du rivage. Groupées sur les sites favorables, elles supportent une cabane où le pêcheur range son matériel.
La couleur des carrelets varie en fonction des secteurs et des prescriptions administratives. La plupart sont de couleur foncée, en bois naturel (marron pour la majorité, peint en noir pour un petit nombre). Certains sont cependant de couleurs claires ou vives, au niveau de la cabane. De façon générale, les passerelles des carrelets, les poteaux qui la soutiennent, la plate-forme et la cabane sont en bois (ou en matériaux à basse de bois) et le toit des cabanes est recouvert de tôles.
1. jacouille le 30-06-2011 à 14:21:26
joyeux anniversaire mon petit marcounet,je pense a toi devant un bon calendosse qui a un gout de revient y
2. Beethoven le 30-06-2011 à 15:32:49
merci
3. jupi le 01-07-2011 à 17:01:42
un super anniversaire mon pote..
et je souhaite t'en souhaiter plein d'autre et que les bulles collent a flot
1. jupi le 23-06-2011 à 03:54:38
c'était une superbe ballade .Mais il maquait quelques chose????
2. jupi le 24-06-2011 à 03:54:17
au bord de cette belle rivière,il manquais ? Un pique nique avec le pain,le saucisson,un fromage a la jacquouille et un morgon..
3. jacouille le 24-06-2011 à 08:55:32
ta raison .a refaire ,il faut amener les ingredients pour passer une bonne journée.j'ai ma petite idée!
4. Beethoven le 24-06-2011 à 11:38:52
je me doute de l'idée à Jacquouille un bon fromage qui tue les mouches
5. La potine le 25-06-2011 à 16:50:32
Aaaaaaaah Non!!!!
Vous n'allez pas polluer la Charente Maritime
....
Mais non, c'était une blague. On les aime bien tes fromages Jacques ... m'enfin... surtout Marc
1. jupi le 16-06-2011 à 04:55:09
et toujours de belles balades de faites!!!
le bord de la Seudre et superbe.Vénus avec le pit sur la plage c'était sympa...J'ai encore découvert de nouveaux coins.
Merci Potine
belle vidéo M.Beethoven
2. jacouille le 16-06-2011 à 17:05:11
ta raison jupy,c'est vraiment beau qu'ont voudrais y retourner ca passe trop vite,
Crevettes
Coquilles st Jacques
Coquilles st Jacques
Plateau royale
Plateau royale
Profiteroles à Venus
Et voici le résultat
1. charmagy le 07-06-2011 à 18:31:34 (site)
un vrai délice sur tes photos un coin que je connais je suis née en charente maritime tres belle soirée bises
2. jupi le 12-06-2011 à 14:38:03
comment voulez vous ne pas prendre du poids?
+1kg 5
J-5...
Avant Meschers
1. jupi le 22-05-2011 à 17:24:14
c'est bien vous M.beethoven sous l'arbre ? rien foutre c'est dans vos habitudes hihi
2. jacouille le 22-05-2011 à 18:04:47
qu'il en profite bien ,car cela va etre grandiose.de retour de meschers,mon petit doigtme dis qu'il chercherais un nez...du coté de grasse.c'est une source que je garderais secrete,devinez
Commentaires
1. Crealain le 26-11-2011 à 09:31:31 (site)
J'ai habité à La Rochelle et à Jonzac... j'adore ce département ! Bonne continuation et bon week-end.