Le carrelet est un filet carré d'une superficie de quelques mètres carrés tendu sur une armature plane et descendu horizontalement au moyen d’un treuil depuis un ponton qui avance en mer et sur lequel est généralement construit un abri, voire un petit logement. Après quelques minutes d'attente, pour dissipation du trouble causé par la descente, le filet est remonté assez rapidement, emprisonnant en principe les poissons qui se trouvaient entre lui et la surface (un appât "boît" peut être placé en son centre).
C'est une pêche très réglementée en raison de la construction d'un ponton sur le domaine maritime.
En Émilie-Romagne(Italie) ce type de pêche existe aussi, elle s'appelle padelloni or bilancioni.
La ville de 18 424 habitants, au cœur d'une aire urbaine estimée à 44 758 habitants, est une station balnéaire dans l'embouchure de l'estuaire de la Gironde. Son territoire comporte cinq plages, un port de plaisance et un port de pêche.
Royan a connu plusieurs sièges et destructions. Après les invasions germaniques (Wisigoths notamment), puis les attaquesVikings, Royan, petit port de pêche, est le siège de plusieurs prieurés pendant le Moyen-Âge. Sous domination anglaise pendant la guerre de Cent Ans, la cité devient pendant les Guerres de religion, une place forte protestante qui sera assiégée et détruite par Louis XIII.
Capitale de la Côte de Beauté, Royan se situe en face du Verdon, sur l'autre rive de la Gironde (8,2 km à vol d'oiseau), et est mitoyenne de Vaux-sur-Mer, en aval sur la même rive et de Saint-Georges-de-Didonne, en amont. Saint-Sulpice-de-Royan est quant à elle à 3,9 km sur la route de Rochefort et Médis à 5,5 km sur la route de Saintes.
( http://fr.wikipedia.org/wiki/Royan )
Route des Estuaires
Les Estuaires sont de hauts lieux de rencontre pour les oiseaux migrateurs.
Leur remontée, souvent rapide, peut être observée entre les mois de janvier et mai. En Charente-Maritime, ces grands migrateurs peuvent être strictement migrateurs, nicheurs ou hivernants. Ils appartiennent à des groupes aussi divers que les Rapaces, les Limicoles, les Echassiers et les Oies.
Le Bécasseau maubèche / Calidris canutus
D'octobre à février, entre l'Ile d'Oléron et le continent, il est possible de voir ce bécasseau en grand vol au-dessus des vases. Long de 25 cm, il est le plus gros des bécasseaux qui fréquentent, en hiver, les côtes de France. Au printemps, son plumage de noces couvre entièrement son ventre d'un roux vif. Celui-ci disparaîtra au profit d'une livrée terne et grise. L'espèce est actuellement classée gibier.
Le Milan noir niche généralement à proximité de l'eau.
Le Milan noir est le plus fréquent de tout les rapaces du globe : sa répartition géographique est une des plus vastes et ses effectifs des plus importants. Comme tous les rapaces, le Milan noir est protégé. Il séjourne en Charente-Maritime de la fin du mois de mars à la fin du mois d'août,période à laquelle il gagne l'Afrique tropicale. Ses quartiers d'hivernage s'égrainent, au sud du Sahara, des latitudes du Gabon, Congo, République Démocratique du Congo, Kenya à celles de la Zambie et de la Tanzanie.
L'Hermione faisait partie, avec La Courageuse, la Concorde et la Fée, d'une série de quatre frégates à voiles construites à l'arsenal Maritime de Rochefort ( Charente-maritime ) pour la Marine Royale.
Dans la mythologie grecque, Hermione (Ἑρμιόνη) est une Atride, fille du roi de Sparte Ménélas et de la très belle Hélène, fille de Zeus, à l'origine de la Guerre de Troie.
L'Hermione est une frégate dite « légère » car elle est rapide et maniable.
Elle arbore les mensurations d'un navire de 1166 tonnes, avec une
longueur de tête en tête de 44,2 m, une largeur au maître-couple de 11,24 m et de 5,78 m de creux. Elle pouvait embarquer 255 hommes. Elle comptait trois mâts et sa voilure de route couvrait plus de 1 500 m2.
Elle était armée de vingt-six canons tirant des boulets de douze livres (d'où le terme de « frégate de 12 »).
Elle dispose de trois ponts : le pont de gaillard, le pont de batterie et le faux-pont, situé au-dessous du pont principal. Le premier sert à lamanœuvre, le second à l'artillerie et le troisième à la vie des marins à bord.
Le projet de reconstruction de l'Hermione a été lancé en 1997. Il est piloté par une association loi de 1901, l'association Hermione-La Fayette ouverte à tous les passionnés. Créée en 1992, son premier président fut Erik Orsenna. Cette association est à la fois l’armateur du navire et son propriétaire.
Le chantier est installé dans l'une des deux formes de radoub situées à l'extrémité de la Corderie Royale à Rochefort.
La mise à l'eau, initialement prévue en 2008, a été repoussée en 2011, le chantier ayant pris du retard (au XVIIIe siècle, le navire initial avait été construit en moins d'un an.) En juin 2008 cependant, la chaloupe de l'Hermione a été mise à l'eau, à défaut de la frégate elle-même.
Plusieurs modifications ont été apportées au plan original du navire par souci de solidité et de
sécurité : en particulier, les planches sont boulonnées et non chevillées afin d'éviter le jeu secondaire à la durée de construction. De même, les mâts sont collés et non assemblés par des cercles métalliques, afin d'éviter les infiltrations d'eau. Les canons, pour des motifs de poids et également de sécurité, seront allégés et non fonctionnels. Le gréement reste en chanvre mais la voilure est prévue en synthétique pour être plus solide et moins lourde, afin de faciliter une manœuvre conduite avec moins d'hommes.
Une motorisation est prévue en sécurité ainsi que des groupes électrogènes pour l'éclairage et un confort minimal.
Histoire | |
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A servi dans : | Marine Royale française |
Caractéristiques techniques | |
Type : | Frégate à voiles, Frégate de 12 |
Longueur : | 44,20 m ; plus de 65 m hors tout |
Tonnage : | 1166 tonnes |
Caractéristiques militaires | |
Armement : | 26 canons tirant des boulets de 12 livres |
Autres caractéristiques | |
Chantier : | arsenal de Rochefort |
1. jupi le 11-06-2010 à 15:58:48
oui se sont vraiment des vieux gréements hihi
la vidéo est d'époque elle aussi .
bravo
2. Zorro le 11-06-2010 à 16:01:43
J'ai pensé à toi en faisant la vidéo car toi aussi tu es d'époque
La Cigogne blanche (Ciconia ciconia), est un grand oiseau échassier, carnivore, de la famille des Ciconiidés. Cette cigogne est reconnaissable à son long bec et à son plumage noir et blanc.
La Cigogne blanche peut mesurer jusqu'à 1,30 mètre de hauteur, pour un poids compris entre 2,7 et 4 kg (moyenne de 3,5 kg). Elle a uneenvergure de 1,80 mètre, voire 2 mètres. Son bec, de couleur rouge orangé, mesure presque 20 cm (15 à 19 cm chez le mâle et 14 à17 cm chez la femelle). Il est plus large chez le mâle. C'est d'ailleurs l'un des rares traits de dimorphisme sexuel que l'on peut observer. Les yeux de cette cigogne sont noirs, et deux traits noirs les encadrent, donnant ainsi comme une impression de "maquillage".
Son vol est caractéristique : elle s'élève en spirales, en profitant des courants ascendants, et aime surtout planer. En vol, on peut la distinguer facilement du héron car elle vole le cou tendu, alors que le héron le recourbe, le coude.
Pour communiquer, la cigogne claquette (ou craquette) du bec.
Chez les cigognes, il est presque impossible de distinguer le mâle de la femelle sans les avoir vus à l'œuvre. Généralement, c'est le mâle, rentré le premier de migration, qui invite la femelle à partager son nid. Ils se saluent en claquetant du bec, la tête renversée sur le dos. Parfois, des rivalités pour la possession du nid dégénèrent en combats sanglants. Quand l'entente est réussie, à force de parades et de caresses, l'accouplement donne lieu à d'audacieuses acrobaties. Le plus souvent, l'oiselle doit se tenir debout, tandis que son partenaire bat des ailes pour s'équilibrer en s'accroupissant sur elle.
La cigogne bleue fait des bébés blancs
Par Céline Guillemot, le 07 juin 2010 à 14h11, mis à jour le 07 juin 2010 à 18:22
Une cigogne bleue installée depuis plusieurs mois dans un village près de Berlin suscitait la fascination des habitants. Ainsi que de brûlantes interrogations sur la couleur des futurs petits. Sur ce point au moins, le mystère est levé.
Mais de quelle couleur seraient donc les petits ? La question taraudait visiteurs et voisins du digne animal. Et depuis avril, les badauds se succédaient pour guetter la cigogne et son nid. La réponse est venue en ce lundi 7 Juin, avec l'éclosion tant attendue par les villageois et les touristes, dont certains venus des Pays-Bas.
Les explications possibles : polluants ou peinture bleue
Déception : les trois petits cigogneaux sont très classiquement et banalement d'un plumage noir et blanc. Bien loin du bleu azur de leur déjà illustre géniteur. Malgré leur frustration, les habitants deBiegen n'en sont guère surpris : de nombreux spécialistes, amenés à témoigner sur la question, avaient déclaré que cette couleur inusitée n'était certainement pas due à une mutation génétique. Et que par conséquent, elle avait peu de chances de se transmettre à sa descendance.
Parmi les raisons possibles de ce plumage coloré, les experts avancent celle d'un contact avec des produits polluants en provenance, par exemple, de décharges africaines (la cigogne passant les mois d'hiver en Afrique). Ou, plus simplement, situés au niveau de l'ancien emplacement du nid de la cigogne, au sommet d'une cheminée d'exploitation horticole. La théorie de la peinture laquée, bien que moins probable, n'est toutefois pas exclue. Un mystère qui ne devrait pas être élucidé avant plusieurs mois, lors de la repousse des plumes. Les habitants de Biegen et admirateurs de la cigogne bleue devront faire encore preuve de patience.
(http://lci.tf1.fr/insolite/2010-06/la-cigogne-bleue-fait-des-bebes-blancs-5871248.html)
1. jupi le 10-06-2010 à 16:55:41
bel article.
un régal de les avoir vues dans les marais .
Egalement appelée galette « Goulebenèze », la galette charentaise se différencie de ses cousins, le gâteau de Surgères et le broyé du Poitou, par une texture plus moelleuse. Le beurre Poitou-Charentes est un élément essentiel de sa composition.
Dans ce pays de la Charente où le beurre est roi, la galette charentaise en est la digne et très savoureuse illustration...
Riche et dorée, elle orne les tables de fêtes depuis plusieurs siècles... on la dégustait autrefois lors des mariages, communions et autres festivités villageoises...
Puis les nouvelles technologies ont généralisé sa consommation... produite industriellement, elle est de toutes les occasions et accompagne volontiers un apéritif, un goûter, et même les petits déjeuners...
500gr de beurre sont nécessaires pour 1 kg de farine, on y ajoutera 500gr de sucre et 6 oeufs, et puis pour "le petit plus", on finira avec de l'angélique finement coupée, un peu de vanille ou de zeste de citron, de la poudre à lever et une pincée de sel.
La réussite de votre galette tiendra en grande partie au respect des étapes de fabrication : le sucre, les oeufs et l'angélique et les arômes seront battus suffisamment longtemps pour que le mélange blanchisse et soit homogène. On incorporera progressivement la farine puis pour finir le beurre ramolli... un petit passage par le four, 20mn à 180° et le tour est joué !
1. obeline8o le 10-06-2010 à 05:07:53 (site)
kikou longue vie à votre blog je le regarde tous les jours
bisous très bonne journée
L'Occupation - Royan : verrou de la Gironde
A peine signé l'armistice, deux détachements de la 44e division de la Wehrmacht arrivent à Royan le 23 juin 1940. La ville et la presqu'île d'Arvert sont transformées en forteresse pour le contrôle de l'estuaire de la Gironde. Les Allemands s'installent alors dans les hôtels et les écoles.
Les points stratégiques de commandement sont établis dans le Golf-Hotel à Pontaillac pour l'état-major de la marine du Golfe de Gascogne. La Kommandantur s'installe à Forillon. L'hôtel Oceanic de Vallières devient un hôpital.
Autour, les troupes d'occupation forment un maillage dans le cadre du mur de l'Atlantique. L'organisation Todt modernise les batteries de Chay, de Suzac et de La Coubre. Le centre ferroviaire de Saint-Jean-d'Angély, le camp d'aviation de Fontenet sont intégrés au dispositif de défense. Les carrières d'Hurtebise deviennent le plus important dépôt de munitions du mur de l'Atlantique.
Royan, commune de 13 000 âmes, vit alors à l'heure allemande sous la conduite de son maire, M. Houssin, élu en vertu de la loi vichyssoise du 16 novembre 1940.
Soulac. Nettoyage de la région, en avril 1945, parallèlement aux opérations menées pour la réduction de la "poche" de Royan.Les F.F.A., sur la droite, ont nettoyé leur secteur. Colonne de prisonniers allemands. Source : DMPA/SHD |
Organisation de la Résistance La rupture d'un câble téléphonique, la mort d'un soldat allemand, le bris de la vitrine du local du parti de Marcel Déat et quelques attentats constituent les premiers actes de résistance. Le mouvement s'organise réellement à partir de 1942 sous la conduite de Madeleine Fouché. Les recrues des corps d'officiers, tels les commandants Thibaudeau et Baillet, structurent la résistance de Charente-Maritime dès l'été 1943. Ces troupes jouent un rôle essentiel, tant par leur rôle de renseignement que militaire, dans la libération de la ville. |
Formation des "Poches" Le 6 juin 1944, les alliés débarquent en Normandie. Les maquis harcèlent les troupes d'occupation. En août la Wehrmacht bat en retraite, Nantes et Bordeaux tombent. Les Allemands stationnés le long des côtes françaises se replient sur leurs bases maritimes qu'ils transforment en solides camps retranchés défendus par des batteries côtières, bunkers, barbelés et champs de mines. Près de 100 000 hommes, protégés par plus de 1000 blockhaus et 1300 pièces d'artillerie, constituent ainsi autant de "poches" de résistance ennemie dans les lignes alliées, telles Dunkerque, Lorient, Saint-Nazaire, La Rochelle, l'île de Ré, l'île d'Oléron, la Pointe du Grave et Royan. Commence alors durant l'hiver une guerre de position, ponctuées par des raids et des tirs d'artillerie renforcée par des actions de sabotage et de renseignement de la résistance intérieure. |
Le siège de Royan (septembre 1944 - 17 avril 1945) A l'été 1944 les belligérants se préparent à la guerre de siège. Le colonel Pohlmann, nommé commandant des troupes allemandes en juin 1944, organise à partir du 18 août 1944, la défense de la place et du siège. Il envoie des commandos jusqu'à Saintes et Jonzac pour récupérer les matériels et le ravitaillement. Les canons du mur de l'Atlantique (soit 218 ouvrages) sont retournés vers l'intérieur du pays et appuyés par 4 batteries de DCA et 150 canons, 215 000 mines parsèment le front de terre. La "Poche de Royan", contrôlée par une garnison de 5 500 hommes (le 1er régiment de Royan en avant-poste et le bataillon Tirpiz sur la Seudre et à La Coubre), est ainsi délimitée par la Seudre et ses marais jusqu'à l'Eguille et, au sud-est, par une ligne Saujon-Cozes. L'état de siège est décrété le 12 septembre 1944 par Pohlmann qui, refusant de faire sauter Royan et de battre en retraite, est remplacé par l'amiral Michahelles, contraint alors de mener une guerre de position. Dans les rangs alliés, la coordination est difficile. Les Anglo-américains, désireux d'en finir avec l'Allemagne nazie, préfèrent concentrer les troupes dans l'Est de la France et bombarder les zones de résistance ennemie. De Gaulle et son état-major préfèrent attaquer avec les fantassins, mais doivent en priorité structurer les maquis grossis à la fin août par le renfort de résistants des départements extérieurs ("Bir-Hakeim", "Foch", "Demorny") qui participent à la reconquête de Jonzac (13 août), Saint-Jean-d'Angély (13 septembre), Saintes (4 septembre) et Rochefort (12 septembre). Les troupes issues des maquis sont transformées, sous l'autorité du colonel Adeline et du délégué national Chaban-Delmas, en unités de l'armée française. Adeline transfert son poste de commandement à Saintes afin de superviser les 7 000 forces française de l'intérieur (FFI), ou groupement "Z", les résistants de Roland, l'armée secrète de Dordogne et le groupement des franc-tireurs partisans (FTP) de Bernard. Le 14 octobre, le général de corps d'armée Edgard de Larminat est nommé par de Gaulle commandant du détachement d'armée de l'Atlantique (DAA) pour libérer les poches côtières. 5 janvier 1945 : bombardement de Royan. |
Libération de Royan. 15 avril 1945. Source : DMPA/SHD |
Convaincu de l'importance de réduire les poches de résistance, le général De Gaulle prépare à l'automne 1944 avec l'aide de la 2e DB et l'état-major anglo-américain "l'opération Indépendance" destinée à libérer Royan. L'opération, prévue pour le 25 novembre et repoussée au 10 janvier, doit être annulée côté français en raison du départ des chars de la 2e DB pour contenir la contre-attaque allemande dans les Ardennes. Cependant une erreur de commandement conduit au raid aérien de 300 appareils de la Royal Air Force du 5 janvier qui, en deux vagues (à 5h00 et à 6h00), déverse 1 600 tonnes de bombes sur la "Poche de Royan", faisant un millier de victimes civiles. La responsabilité de ce désastre est partagée. Les Français, dans leur hâte de reprendre les poches de l'Atlantique avec les troupes anglo-américaines, n'ont pas assez porté attention à l'évacuation des populations civiles. Les états-majors américains et britanniques, partisans dès le départ d'un bombardement systématique des poches de résistance, ont interprété de manière erronée les expressions imprécise de "position de Royan", "réduit de Royan", qu'ils ont traduites par "Royan area", preuve de leur confusion entre la ville de Royan et la ceinture fortifiée de la ville. |
13 - 17 avril 1945 : opération Vénérable Durant le mois de janvier les populations civiles sont secourues et évacuées. Les Allemands expulsent les derniers civils en février. Parmi les actions de secours, mentionnons celle de Samuel Besançon, pasteur de Royan et un des chefs de la résistance royannaise, qui est à l'origine de l'édification du mémorial du souvenirs aux victimes du bombardement. Le général de Larminat obtient le retour d'une partie des unités du front des Ardennes : des formations de l'armée d'Afrique, une fraction de la 2e DB (12e cuirassiers, 12e chasseurs d'Afrique, 1er spahis marocains, régiment blindé des fusiliers marins) et des bataillons coloniaux (Oubangui-Chari et Antilles). Ces troupes viennent ainsi renforcer les 25 000 soldats, les unités de la résistance appuyés par les forteresses volantes. Le 13 avril, le général de Larminat exhorte ainsi ses troupes : "Le moment est venu de faire sauter la forteresse ennemie de Royan-Grave. Les moyens matériels sont réunis, le succès de l'opération ne dépend que de l'audace et de la sagesse des chefs, de la valeur et de l'intelligence des soldats [...] C'est une part notable dans la renaissance du pays qui est entre vos mains" (ordre général n° 7). Dans la nuit du 13 au 14 avril les bombardements américains préparent l'assaut. Le 14, à 16h35, les chars, suivis de l'infanterie, attaquent simultanément la Pointe de Grave et Royan, pénétrant ainsi les positions allemandes. Le groupement nord, commandé par le colonel Grenger, lance l'offensive à partir de Saujon vers Médis. La position prise, un pilonnage d'obus le lendemain ouvre la route aux unités, réduites à la 2e DB, qui progressent vers la presqu'île d'Arvert, et entrent dans Bernon puis Royan. |
Royan. Vue de la rue Gambetta en ruines. Source : DMPA/SHD |
Les hommes du groupement sud, sous les ordres du colonel Adeline, qui ont lancé l'offensive de Cozes vers Talmont, Meschers et Trignacles font la jonction avec celles de Grenger à Triloterie. Les chars du 12e cuirassier pénètrent dans Royan, réduisent les poches de résistance ennemie. Ils foncent au nord-ouest, prenant ainsi Vaux-sur-Mer, Courlay, Saint-Augustin et les Mathes et appuyant l'offensive des groupements Cézards et Monnet, basés plus au nord, qui traversent la Seudre le 16 avril, et atteignent la presqu'île d'Arvert et La Tremblade. Ces dernières, avec la Grande Côte, la Pointe de La Coubre et Pontaillac sont les derniers points de résistance. Le 17 avril l'amiral Michahelles, commandant de la place de Royan, est capturé. Le 18 avril, une dernière vague de bombardements emporte la reddition des bunkers de la forêt de la Coubre. |
Bilan Les combats pour la libération de Royan ont fait 150 morts et 700 blessés chez les alliés. On dénombre 479 victimes et 4600 prisonniers allemands. |
http://www.cheminsdememoire.gouv.fr/page/affichepage.php?idLang=de&idPage=2679
L'île Madame est une île française, baignée par l'océan Atlantique, au large des côtes de la Charente-Maritime.
Elle est située sur la rive gauche de l'estuaire de la Charente entre la presqu'île de Fouras et l'île d'Aix au nord, et le petit port ostréicole de Port-des-Barques, à la commune duquel elle est administrativement rattachée, au sud. Elle fait face à l'île d'Oléron et au célèbre site de Fort Boyard.
C'est la plus petite des quatre îles charentaises qui sont par ordre de taille décroissante : l'île d'Oléron, l'île de Ré, l'île d'Aix et l'île Madame. Comme ses voisines, elle appartient administrativement au département de la Charente-Maritime, lequel se situe dans larégion Poitou-Charentes. Il s'agit en fait d'un écart de la commune de Port-des-Barques, l'une des trois communes les plus récemment créées en Charente-Maritime.
L'île Madame est une toute petite île dont la superficie totale est de 0,78 km². Elle s'étire sur une longueur maximale de 800 mètres et sur une largeur maximale de 400 mètres, ayant la forme d'un rectangle.
A marée basse, elle est reliée au continent par une voie de sable et de galets, appelée la passe aux bœufs. Il s'agit en fait d'untombolo, forme de cordon dunaire issu des dépôts d'origine sédimentaire et fluviale, qui est en train de souder inexorablement l'île Madame au continent. Cette passe, fréquemment franchie par de nombreux touristes pendant la période estivale, constitue alors une voie submersible, accessible uniquement à marée basse. Elle est liée au même phénomène naturel de marée montante que celui observé entre le Mont-Saint-Michel pan> et la terre ferme et est susceptible du même degré de dangerosité.
Les rivages de l'île Madame sont constitués essentiellement de rochers et de petites falaises banches, ainsi que de plages de galets, avec peu de sable. Son assise géologique, qui prolonge le plateau de la Saintonge, diffère sensiblement de celle de la presqu'île de Fouras et de l'île d'Aix, étant formée des calcaires gréseux du Crétacée et des sédiments marins et fluviatiles du Quaternaire issus de la dernière transgression flandrienne.
L'ostréiculture est pratiquée sur la côte ouest de l'île Madame ainsi que l'aquaculture. La ferme aquacole de l'île Madame est un exemple réussi d'entreprise intégrée dans son milieu naturel. Cette dernière a été créée en 1980 et propose maintenant une fermeauberge où sont servis les produits de l'exploitation : huîtres, palourdes, bars, daurades royales, salicornes, sel récolté dans le marais salant.
Par ailleurs, de nombreux carrelets sont implantés sur son rivage et l'île est reconnue comme étant un lieu propice à la pêche à pied.
Enfin l'île Madame s'est ouverte au tourisme où il est possible d'y séjourner grâce à l'ouverture d'un camping et de gîtes à louer(interdit aux camping-cars la nuit).
Elle tiendrait son nom soit de Anne de Rohan de Soubise, maîtresse de Louis XIV ou de l'abbesse de l'abbaye aux Dames de Saintes qui portait le titre de Madame de Saintes. Elle s'est aussi appelée l'île de la Garenne sans doute à cause de l'abondance des lapins du même nom qui étaient ses seuls habitants. Sous la Révolution, elle est appelée l'île Citoyenne.
Au nord de l'île, se trouvent une redoute qui correspond à une ancienne fortification militaire de forme carrée, édifiée en 1703, ainsi que des casemates. Ces constructions participaient au système de défense de la « rade de Rochefort », à l'entrée de la vaste embouchure de la Charente, pour protéger Rochefort et son arsenal militaire.
Au sud-est de l'île, une grande croix de galets, formée à même le sol, marque l'endroit où furent ensevelis 254 prêtres déportés en 1794. Ce site donne lieu à un pèlerinage annuel, en août, consistant à venir sur l’île, à pied depuis Brouage, en apportant un galet du continent pour le déposer sur la croix.
Ces prêtres moururent de maladie et d'épuisement à bord des pontons de Rochefort : le Washington et les Deux Associés, d'anciens navires négriers. Certains étaient des prêtres réfractaires, ayant refusé de prêter serment à la nouvelle constitution, mais ils comptaient également dans leurs rangs un grand nombre de prêtres assermentés.
Après l'épisode sanglant de la Commune de Paris, des communards y furent envoyés. Pour s'approvisionner en eau douce, ils creusèrent un puits, au nord de l'île, appelé depuis puits des Fédérés ou puits des Insurgés. Ce puits, foré en mer à 25 mètres du rivage, est accessible par une passerelle.
Article sur http://fr.wikipedia.org/wiki/Île_Madame
Il semble presque certain que cette ville gallo-romaine, dont l'apogée se situe au IIe siècle, soit la Novioregum indiquée dans l'itinéraire d'Antonin. Cette ville pourrait également être le Portus Santonum (port des Santones) décrit par Ptolémée.
En 1975, une campagne de prospection aérienne menée par Jacques Dassié confirme ce fait, et montre en outre la présence defortifications autour de ce camp, celles-ci étant principalement composées de fossés et d'entrées en chicane, un ingénieux dispositif exposant dangereusement les éventuels assaillants. Deux autres sites préhistoriques plus récents, datés de l'âge de bronze, ont été découverts à proximité : l'un près du lieu-dit « le moulin du Fâ », l'autre sur le flanc nord-est de la colline de La Garde, à proximité du lieu-dit « Les Piloquets ». Ce dernier site fut découvert par hasard en 1980, lors de la plantation d'une vigne : il révéla notamment plusieurs haches en bronze datées d'environ 1800 avant notre ère, actuellement exposées au musée de Royan.
Une campagne de fouilles entreprises sous la direction de Karine Robin de 1996 à 2002 a également permis de mettre au jour des céramiques gauloises et hispaniques datant du Ve siècle avant notre ère, ce qui permet d'envisager la présence d'un port de commerce dès cette époque. De même, des pièces de monnaie gauloise ont été découvertes en 1997. Les plus anciennes auraient été frappées à la fin du IIe siècle avant notre ère.
Le fait que la Saintonge se soit située sur l'une des routes de l’étain, commerce particulièrement actif entre les Îles Britanniques (principalement laCornouaille) et la Méditerranée à cette époque, permet d'envisager le transit de cette matière première indispensable à la fabrication du bronze par le port de l'antique cité, expliquant la relative prospérité de la ville avant même l'établissement de la domination romaine.
La ville, prospère, est signalée par l'itinéraire d'Antonin, publié au iiie siècle de notre ère, sous le règne de l'empereur romain Dioclétien. Il situe Novioregum sur l'axe routier menant de Saintes à Bordeaux via Blaye, à 15 lieues de Saintes (environ 35 kilomètres) et 12 lieues de Tamnum, une cité qui selon Jacques Dassié, aurait été située près de Consac (environ 29 kilomètres). Celui-ci fonde son hypothèse sur l'utilisation possible d'une grandelieue gauloise de 2450 mètres en lieu et place du mille romain.
La ville conserve quelque importance jusqu'à la fin du iiie siècle, avant de décliner et d'être abandonnée pour des raisons encore inconnues à ce jour. La théorie de l'envasement du port — sans doute poumon économique de la ville — est envisagée, sans que de véritables preuves ne soient établies à l'heure actuelle. Ce phénomène, fréquent dans la région, causa la perte au xviie siècle d'un autre grand port de la région : Brouage.
D'aucuns voient dans les troubles liés aux grandes invasions (Francs et Alamans, puis Wisigoths plus tardivement) une cause possible de cet abandon : cependant aucune trace de violence n'a été relevée sur le site à l’heure actuelle. Dans l’état actuel des connaissances, tout semble indiquer un déclin progressif de la cité et un abandon total ou partiel du site dans le courant du ive siècle.
À l'aube du Moyen Âge, l'antique cité romaine devient une carrière de pierres. Des éléments décoratifs sont réemployés dans des maisons ou des églises de la région, et des fûts de colonnes romaines servent longtemps de margelles pour les puits des villages environnants (l'une d'elle, datée duiiie siècle, sert de fonts baptismaux dans l'église d'Épargnes, un village voisin) Au xvie siècle, un moulin à vent est édifié sur le podium de l'ancien temple : le moulin du Fâ (déformation probable du terme fanum).
(l'ingénieur royal Claude Masse, en poste en Aunis et Saintongeentre 1694 et 1715, note leur présence), leur importance est longtemps sous-estimée. Le premier à l'entrevoir fut l'abbé Auguste Lacurie, secrétaire de la Société archéologique de Saintes à la fin du xixe siècle. En 1844, il émet l'hypothèse que les ruines visibles à Barzan pourraient bien être celles de la ville antique de Novioregum, dont on cherchait la trace depuis des siècles. Cependant, plusieurs personnalités importantes dans le domaine de l'archéologie, tel Léon Massiou, un historien originaire de Saujon faisant autorité à cette époque, contestent cette hypothèse, notamment dans un ouvrage paru en 1924.
Celui-ci mène personnellement une campagne de fouilles archéologiques auprès du site dit du moulin du Fâ entre 1921 et 1924. Outre le temple et le théâtre, connus depuis les descriptions de Claude Masse, cette campagne permet d'exhumer les vestiges d'un aqueduc, puis de thermes, confirmant la présence d'une cité de quelque importance à cet emplacement.
L'importance de ces découvertes aboutit au classement du site par les monuments historiques en 1937.
architecte
De 1935 à 1957, Louis Basalo, un architecte et archéologue royannais, effectue également des fouilles, explorant l'aqueduc, fouillant les thermes romains. Durant cette campagne, une stèle votive est découverte à environ vingt mètres du sanctuaire principal. L'inscription qui y figurait (C[aius] Cæcilius galeria civilis mart[i]) est sans doute une dédicace au dieu Mars. Malgré d'importantes découvertes, c'est seulement en 1975, à la faveur d'une importante sécheresse, que Jacques Dassié réalisa des photographies aériennes éclairant d’un jour nouveau le site archéologique, dévoilant un site bien plus important que ce qui était soupçonné jusqu'alors. Sous les cultures et la végétation, ce n'est rien de moins qu'une ville de 140 hectares — comparable aux grandes métropoles romaines de Saintes (130 ha), Poitiers (environ 150 ha) ou Bordeaux (entre 150 et 170 ha), comportant temples, thermes, théâtre, entrepôts, forum, habitations, avenues qui est dévoilé.
Le site, d'abord occupé par des propriétés privées, fut racheté par la municipalité de Barzan en 1993, année de la création de l'association ASSA Barzan, chargée de l'exploitation du site. Des fouilles structurées débutèrent en 1994, supervisées par l'Université Bordeaux III et par l’Université de La Rochelle.
En 1994, le ministère de la Culture confie à Pierre Aupert, directeur de recherches au CNRS, les fouilles sur le sanctuaire du Fâ. Celles-ci révélent notamment la construction de deux temples successifs, l'existence d'une vaste fosse (peut-être sacrificielle) et les repères de la construction du podium
En 1999, des sondages positifs ont été effectués par Laurence Tranoy au lieu-dit Le Trésor, à l'emplacement de ce que l'on suppose avoir été le forum, au croisement du cardo maximus et du decumanus.
Une campagne de fouilles menées entre 2006 et 2008 sur le sanctuaire du Fâ ont également révélé les murs du péribole montrant les deux enceintes successives, dont la seconde, monumentale, mesurait environ 106 m x 92 m.
De 1998 à 2004, les fouilles des thermes romains, au nord du Fâ, sont conduites par Alain Bouet, maître de conférences HDR à l’Université de Bordeaux et spécialiste de l'époque gallo-romaine. Celles-ci révèlent bientôt l'existence d'un des plus grands ensembles connus en Gaule à ce jour. De2003 à 2005, Alain Bouet participa également aux fouilles des entrepôts de stockage (les horrea) un peu au sud du sanctuaire du Fâ, révélant des magasins de grandes dimensions et l'importance du port antique.Reprises en 2007 par Antoine Nadeau, les fouilles du théâtre, sur le site de La Garde, reprendront en 2009. Très dégradées, les ruines ont servi de carrière de pierre pendant plusieurs siècles.
Au centre d'un péribole rectangulaire de 106 m x 92 m, le temple gallo-romain
du iie siècle comportait une colonnade circulaire (hauteur totale estimée 16 m), une cella ronde au centre (diamètre 20,80 m, hauteur estimée 33 m) et un porche d'entrée profond de 7,70 m, muni de colonnes en façade. Selon l'ASSA Barzan, ce temple gallo-romain monumental ressemblait probablement à ceux de Vésone à Périgueux et du vicus des Tours Mirandes, à Vendeuvre-du-Poitou.
A l'extrémité Est du decumanus, sur la colline de la Garde, se trouvent les vestiges de plusieurs temples découverts au cours de la sécheresse de1975-1976. A l'origine, il s'agissait d'un fanum avec cella quadrangulaire entourée d'un péribole , d'un temple de tradition celtique à cella hexagonale et d'un temple romain classique avec podium en maçonnerie rectangulaire sans péribole.
La fouille des thermes est considérée comme achevée dans sa
partie nord. Les fouilles ont permis de démontrer que l'alimentation en eau des thermes se faisait par un grand puits rectangulaire (3 m x 4,4 m d'une profondeur de 16 m) muni d'un système d'élévation, dont la machinerie en bois, effondrée dans le puits, est en cours d'étude .
A l'est du site du Fâ, sans doute à l'extrême limite de la
ville antique, le théâtre romain occupe un flanc de la colline de La Garde. Le rayon de l'hémicycle est d'au moins 50 m et un sondage ancien a montré que sa cavea était structurée par des murs rayonnants, comportant des gradins en pierre. La longueur interne restituée du bâtiment de scène est de 71,40 mètres. Selon l'ASSA Barzan, il s'agit d'un édifice important, peut-être plus grand que les théâtres d'Arles et de Vaison-la-Romaine et comparable aux plus vastes édifices de ce type connus en Gaule : Vienne, Orange et Autun.
A l'est du Fâ, l'archéologie aérienne a identifié de vastes entrepôts publics caractéristiques des villes portuaires (comme à Vienne, Lyon, Rouen, Bordeaux, Cologne, Hyères ou Corseul). Les fouilles ont permis de dégager plusieurs cellules. Les fouilles sont en cours en 2008.
Il se situe à 3km à l'est du site, sur la commune de Chenac-Saint-Seurin-d'Uzet. Exploré sur une centaine de mètres en 1939, son altitude est néanmoins plus basse que les thermes et que le temple, posant la question de l'alimentation en eau de la ville.
Le decumanus apparaît sur toutes les images aériennes et parfois même au sol, constituant un monument en lui-même (large d'une dizaine de mètres) ; sa longueur visible est d'environ 400 mètres et il est l'élément structurant principal du réseau urbain, avec une vocation manifeste de prestige. Au ier siècle, une voie est aménagée jusqu'à l'entrée du sanctuaire gallo-romain. Au iie siècle, le site s'agrandit et s'embellit : le temple circulaire est reconstruit et agrandi, ainsi que les thermes et les horrea. Des fouilles actuelles, conduites sous la direction de Laurence Tranoy (Université de La Rochelle) et d'Emmanuel Moizan (INRAP), ont pour objectif de comprendre le plan de circulation de la ville antique, et notamment la nature et le rôle de cette rue très large et très longue surnommée la "Grande Avenue". Dans un reportage consacré à l'une de ces campagnes de fouille (2008), Laurence Tranoy explique que cette "Grande Avenue" est un artéfact dû aux modifications de l'urbanisme selon les époques et à l'amplification de la vocation cultuelle de la ville.
Les vestiges du forum ont été identifiés à proximité du lieu-dit « Le Trésor » entre le port antique et le sanctuaire du Fâ, le long de l'ancien cardo maximus. Selon l'ASSA Barzan, le forum de la ville était scindé en deux parties : au nord, une grande place dépourvue de constructions, et au sud, une seconde place entourée de portiques et d'une construction massive.
Le site du port antique, situé non loin du lieu-dit la Combe du Rit n'a pas encore été fouillé en 2008. Identifié par les photos aériennes et par les inondations de 1999, il était situé au sud de la ville gallo-romaine, à proximité du forum. Il constituait un point de débarquement pour les bateaux de haute mer. Les vastes entrepôts et les céramiques grecques (du Ve s. avant J.-C.) et hispaniques, retrouvées sur le site peuvent laisser penser que le port était un lieu de négoce sur l'un des routes de l'étain reliant les Îles Britanniques à la Méditerranée.
Un nouveau musée a ouvert ses portes en décembre 2005 dans l'ancienne ferme du Moulin du Fâ. Il
présente des vestiges issus des campagnes de fouilles les plus récentes, des reconstitutions, une maquette au 1/10° de la ville gallo-romaine et une borne interactive permettant une visite virtuelle de la cité antique. Des visites guidées sont organisées par l'ASSA Barzan.
( http://fr.wikipedia.org/wiki/Site_gallo-romain_de_Barzan )
1. Guiphitho le 06-06-2010 à 09:36:30 (site)
Bel article, belles photos...site impressionnant!!
Bon dimanche.
Carine
2. jupi le 06-06-2010 à 16:13:08
site qui doit être sympa a voir .
visite prévue pour l'année prochaine ?
4. jupi le 07-06-2010 à 05:16:47
ta grande sœur va en avoir ras le bol de nous .
Commentaires
1. jupi le 21-06-2010 à 10:32:53
vous croyez qu'il est assez costaud?
le pêcheur avec ces prises ,belle rencontre